Rufus et les bébés rockeurs
deux jours et deux ambiances radicalement différentes.
Premier soir Olympia.
Rufus Wainwright rend hommage à Judy Garland en reprenant l'intégralité de son concert mythique de 1961. Grippé, il assure malgré tout un show très broadway avec orchestre et guests ( sa soeur martha et la fille de judy garland) pour ces standards du music-hall américain.( voir compte rendu plus long sur le blog "en route")
Deuxième soir Virgin Megastor Champs Elysées
Après un concert catastrophique des second sex quelques mois plus tôt, je me rend au virgin voir Naast, considéré comme un des groupes leaders d'une jeune scène rock parisienne, pour tenter de me rendre compte ou non si oui ou non cette scène existe vraiment. Premier constat, alors que second sex n'avait mobilisé que leurs amis de l'Alsacienne, Naast arrive devant une audience aussi importante que celle de zazie quelque jours plus tôt.
Devant un public plus ou moins lookés de jeunes filles (hystériques) et jeune garçons de 13 à 16 ans, il délivre un set très garage rock années 60 assez enthousiasement mais qui manque encore de travail et d'originalité. La mobilisation est là, il ne reste plus qu'à faire de bonnes chansons.
Premier soir Olympia.
Rufus Wainwright rend hommage à Judy Garland en reprenant l'intégralité de son concert mythique de 1961. Grippé, il assure malgré tout un show très broadway avec orchestre et guests ( sa soeur martha et la fille de judy garland) pour ces standards du music-hall américain.( voir compte rendu plus long sur le blog "en route")
Deuxième soir Virgin Megastor Champs Elysées
Après un concert catastrophique des second sex quelques mois plus tôt, je me rend au virgin voir Naast, considéré comme un des groupes leaders d'une jeune scène rock parisienne, pour tenter de me rendre compte ou non si oui ou non cette scène existe vraiment. Premier constat, alors que second sex n'avait mobilisé que leurs amis de l'Alsacienne, Naast arrive devant une audience aussi importante que celle de zazie quelque jours plus tôt.
Devant un public plus ou moins lookés de jeunes filles (hystériques) et jeune garçons de 13 à 16 ans, il délivre un set très garage rock années 60 assez enthousiasement mais qui manque encore de travail et d'originalité. La mobilisation est là, il ne reste plus qu'à faire de bonnes chansons.