samedi, novembre 11, 2006

viva stockholm


ce n'est pas forcément une destination à laquelle on pense spontanément mais pour ceux qui aiment passer de long week end dans une ville, Stockholm est une des villes idéales = Un petit air de Venise, un musée d'art moderne très bien fourni, de longues marches possibles même sous la neige, des bars et restos branchés qui ne se la pètent pas trop, plein de boutiques tentantes, bref.....go to stockholm

6 commentaires:

Blogger kv a dit...

ouais, enfin, si on n'y va pas ce n'est pas parce qu'on n'y pense pas mas parce que c'est hyper cher.
donc c'était bien.
Mais qu'est-ce que vous y avez foutu à Stockholm ?

6:57 AM  
Anonymous Anonyme a dit...

alors qu'un bon vieux tour du Kazakstan sur un vélo de 1932 (copie conforme de Herr strumpf champion d'Allemagne de la même année), nuit en dortoir avec des chinois mandarins ronfleurs compris, c'est tellement plus exotique ....

11:11 AM  
Blogger kv a dit...

quelle agrssivité.
Je mettais uniquement le doigt sur tes déviances petit-bourgeois qui habite le 6e arrondissement. Ce sont des faits et non pas un jugement de valeur.
N'emp^che, tu ne réponsd pas à la question.

7:29 AM  
Anonymous Anonyme a dit...

eh non ce n'est pas moi ce collectif....mais pour répondre à ta question on adore visiter des villes et personne ne va en scandinavie alors que stockholm la ville est hyper jolie et malgrè ce que l'on peut penser vivante même en neige à zero degrè

8:45 AM  
Blogger kv a dit...

tu ne réponds toujours pas à la question.
Je crois savoir sous quel climat inhospitalier sévi ledit collectif.
Et il connaît la passion que je nouri depuis des années à l'égard des chinois mandarins ronfleurs.

Toutefois, il lui faut aujourd"hui apprendre que je ne rêve absolument pas de faire le tour du Kazakstan sur un vélo de 1932, et allemand, par dessus le marché.
Le collectif incriminé connaît ma Germanophilie. Totefois, celle-ci ne va pas jusqu'à reconnaître aux allemands une grande tradition en matière de fabrication de vélo. Les français ont longtemps été es maîtres absolus. Seuls quelques consructers italiens et anglais ont réussi à sortir des vélos potables (on accordera quelques crédits à l'américain parmount, au canadien mariposa et à 2 ou 3 fabriques japonaises, dont les magnifiques TOEI).

Et en 1932, point de dérailleur. Jouer à Bel ami sur une élégante monture, oui. Suer dans les côtes, point mon de ça par chez nous. Nous sommes fort aise de laisser à d'aures cette joie puerille (sauf si ça vaut le coup : Galibier, etc.) Je ne roule que sur des vélos pstérieurs à 1949.

Comme dirait mon adversaire du jour : "Tout celà a été convergeant et tout celà était de nature à être concluant".
Qu'on se le tienne pour dit.

6:30 PM  
Blogger kv a dit...

Dis, donc, j'y repense, et je me dis que ce n'est pas la peine de te débattre comme une vierge effarouchée, Alex. Si ce n'est pas toi, il y a comme qui dirait une liaison dans l'air.
Et puis, dans certains cas, comme dans celui présent, une chouille de solidarité ne fait pas de mal.

7:47 PM  

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